ISO 14001: once upon a time, global warming (Part 1)
XIXème siècle : début des émissions du CO2 suite à l’utilisation du charbon, la déforestation liée à l’agriculture intensive et l’augmentation des populations
1. 1800-1870 Fin de l’ère préindustrielle. La concentration de CO2 dans l’atmosphère est d’environ 290 ppm. Première révolution industrielle.
2. 1824 Joseph Fourier calcule que la Terre serait considérablement plus froide en l’absence d’une atmosphère.
3. 1859 John Tyndall découvre que certains gaz absorbent la radiation infrarouge. Il suggère qu’un changement de leurs concentrations pourrait provoquer un changement climatique.
4. 1896 Le chimiste suédois Svante Arrhenius publie les premiers calculs sur le réchauffement climatique causé par les émissions anthropiques de CO2.
5. 1897 Thomas Chamberlin propose un modèle pour les flux globaux de carbone qui inclut des rétroactions.
XXème siècle : La croissance de la population s’accélère; utilisation de fertilisants chimiques, début de l’électrification.
6. 1870-1910 Deuxième révolution industrielle.
7. 1920-1925 Début de l’exploitation sur une vaste échelle des gisements pétroliers du Texas et du golfe Persique.
8. 1930 – Milutin Milankovitch propose les changements dans l’orbite de la Terre comme la cause des cycles de glaciation.
9. 1938 – Guy Stewart Callendar, un ingénieur et météorologue amateur anglais, suggère qu’un réchauffement planétaire dû au CO2 est en cours.
10. 1941 – Hermann Flohn, météorologue allemand s’inquiète que les activités humaines deviennent une cause d’un changement climatique à l’échelle planétaire dont les répercussions futures ne peuvent être prévues.
11. 1954 – Evelyn Hutchinson, biologiste anglais à l’Université Yale, est le premier à postuler que la déforestation provoquera une augmentation de la concentration de CO2 atmosphérique.
12. 1956 – Maurice Ewing et William Donn proposent un modèle qui explique la rapidité des transitions glaciaires et interglaciaires.
13. 1957 – Roger Revelle, physicien à l’université de Californie, à San Diego, calcule que les océans ne sont pas en mesure d’absorber la plus grande partie du CO2 émis par les humains.
14. 1958 – Charles David Keeling, scientifique au Scripps Institute, effectue les premières mesures fiables et continues du CO2 atmosphérique : 315 ppm, lesquelles vont en augmentant.
XXIème siècle : SARKOSY – French President – déclare au Salon de l’Agriculture de 2010 « (…) l’Environnement ça commence à bien faire (…) »
15. Fin de la 1ière partie – 2nde partie à suivre en février 2022…
Un ch’ti coup de Duval pour se rafraîchir de ce global warming qui « commence à bien faire » !
Homo Coronavirus – La découverte archéologique du millénaire
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ISO 9001 exige d’attribuer les responsabilités et autorités pour les processus (exigence 4.4.1.e). Elle apporte des changements significatifs : notamment les chapitres 4 et 6 qui concernent le contexte de votre entreprise et la planification. Par ailleurs, le représentant de la direction (responsable qualité) ne fait plus partie des exigences, de même la documentation a été simplifiée, un prestataire externe (travailleur non salarié) peut de ce fait tenir le rôle de responsable qualité ; en revanche le rôle des pilotes de processus est renforcé, et comme souligné plus haut, il faudra leur octroyer l’autorité suffisante pour le pilotage de leur processus… De plus, la direction est désormais auditable aussi bien pour ISO 9001 que pour MASE.
A ce jour, notre expérience d’auditeur nous montre que certains organismes rencontrent des difficultés pour répondre à certaines exigences des référentiels précités : les tops flops pour MASE sont entre autres les clauses §1.4.9, §1.4.10, §3.4…
Pour ISO 9001, ça reste l’exigence §7.1.6 et l’oubli fréquent de traiter l’exigence §.6.1.2.
Nous restons à votre écoute pour tout complément d’information.
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